
Feuilleton de confinement
Le matin du 18 mars de cette année, j’ai commencé à envoyer à mes quatre petits-enfants qui se trouvaient confinés (les uns en Bretagne, les autres dans les Alpes) un absurde début d’histoire : un pangolin s’était mystérieusement fait la malle d’un tableau réalisé par un vieux peintre chinois. Cela était censé se passer au XVIème siècle…
Le jour suivant, le pangolin n’ayant évidemment pas réapparu, j’ai continué à écrire et à envoyer (par courriel) ce qui allait devenir un long, un très long feuilleton.
Cinq autres étranges animaux allaient ainsi disparaitre depuis les quatre coins du monde et six personnages partiraient à leur recherche.
Je n’avais alors aucune idée d’où cela allait les mener, ni même où cela allait me mener !
L’écriture au fil des jours, l’aventure, les envois quotidiens se terminèrent avec la fin (provisoire ?) du conte, le 10 juillet…
Entre temps, d’autres lecteurs avaient pris « le train » en route : des institutions, des bibliothèques, des professeurs, des instituteurs, des libraires, des médecins ou des groupes d’amis (avec ou sans enfants), avaient relayé le feuilleton. Je les en remercie infiniment.
Pour celles et ceux qui voudraient lire ou relire cette abracadabrante histoire, la voici, publiée dans son intégralité…
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Lire les chapitres précédents :
http://albertlemant.com/le-pangolin-et-le-pingouin-lent/